06/03/2008

Chroniques des ombres / Pierre Bordage


Je serais bien en peine de chroniquer l'ensemble des Chroniques des ombres. La raison en est bien simple, je n'ai pas fini de l'écouter. L'écouter ? De quoi il parle, le BiblioMan(u),là ? Il aurait pas un peu trop serré son masque derrière les oreilles hier soir ? La nuit a été longue de lectures perturbantes ? Tsss, tsss, tsss...que nenni. Je vous parle bien d'une aventure audio que je ne saurais trop vous inviter à découvrir.
S'il m'a été impossible d'aller jusqu'au bout, c'est tout simplement parce que cette histoire captivante (pour les amateurs du genre, j'en conviens...mais pourquoi pas aux autres, après tout) ne paraît qu'à raison d'un épisode par semaine, et que la première saison ne se terminera qu'en novembre 2008. Mais les débuts sont d'ores et déjà prometteurs. L'ambiance sonore (musique, bruits de portes, brouhahas ambiants, pages feuilletées) ainsi que les voix des comédiens incarnant chaque personnage sont autant d'invitations à l'évasion. Tout est fait (et bien fait)pour vous immerger rapidement dans cette histoire dont on ne peut qu'attendre la suite...avec impatience.
Un concept d'émission radiophonique, donc, remis au goût du jour, et qui fonctionne encore à merveille. En tout cas, en ce qui me concerne, j'adhère complètement à ce genre d'initiative. Les éditions Librio s'étaient déjà essayées à l'exercice des épisodes (en format papier) avec La Ligne verte de Stephen King d'abord, puis avec Les Derniers hommes de Pierre Bordage (encore lui!). Le fait d'attendre la suite de l'intrigue avait quelque chose d'excitant, donnait une dimension supplémentaire à l'acte de lecture.
Donc, allez-y, n'hésitez pas, d'autant que les 4 premiers préambules sont à télécharger gratuitement à partir du site des chroniques des ombres ou des éditions mp3minutes qui ont fait là du bien beau boulot, tout en étant prêt à renouveler l'expérience en développant l'offre éditoriale. A suivre, donc...

1 commentaire:

Bastien Lecouffe Deharme a dit…

Bien dis !
Et salutations :)

B.