se foutre des consignes comme de sa première ligne de coke... ne (surtout) pas s'embarrasser de scrupules... se vautrer en quasi permanence sur un transat au bord d'une piscine chauffée... torturer grossièrement son garde-du-corps-fin-et-lettré... éviter la perte de poids par une alimentation chic et riche et (le plus souvent possible) chère... pratiquer un farniente* de pointe au frais de la princesse america*... bref, le quotidien de gianni manzoni, alias fred wayne, alias lazlo pryor, mafioso* repenti et planqué en france par le gouvernement américain, n'est, a priori, pas des plus éreintant... tss, tss, ais-je envie de dire, apparences que tout ceci. en réalité, les jours et les nuits de notre ami sont traversées par d'infinies angoisses, de sombres doutes, de tortueux questionnements, ces souffrances communes à nombre de pères de famille (ici, entendre ce terme dans plusieurs sens n'est pas une erreur d'appréciation) démissionnaires, maris délaissés par des femmes soudainement soucieuses d'émancipation, italiens bon teint farouchement attachés à l'indépendance du commerce de proximité...
bon. je l'admets, j'ai une fâcheuse tendance à nourrir une douteuse tendresse pour les mafiosi* dépressifs (ce qui, en passant, me laisse perplexe sur mon degré d'intégrité morale). mais quand bien même ces gens vous rebuteraient (au point de tout ignorer du pourtant incontournable tony soprano, par exemple), commettez donc l'écart de vous plonger dans malavita encore. juste pour la franche rigolade, tiens, pourquoi pas ? c'est bon de rire parfois (me chantonnent les nuls, inopportunément, je l'admets aussi, dans le creux de l'oreille)...
... et pour finir, une petite pensée pour l'agent du fbi chargé de l'organisation de cette planque dorée depuis 10 ans, l'inénarrable agent tom quint ! et excusez l'avalanche d'adjectif... je ne sais pas ce qui m'a pris... la salsa que j'écoute en boucle depuis mon réveil peut-être... (quel rapport, me direz-vous ? hé bien, aucun vous dirais-je... (mais cessons là ces parenthèses, on dirait du philippe jaenada !))
nota bene : les mots en italique suivi d'une astérisque sont en italien dans le texte
post sriptum : nota bene est un mot latin, et non italien, comme post scriptum d'ailleurs (me sussure l'homme-fin-et-lettré-qui-garde-mon-corps (mais je ne m'avancerai pas plus loin sur cette pente glissante, don't care))
bon. je l'admets, j'ai une fâcheuse tendance à nourrir une douteuse tendresse pour les mafiosi* dépressifs (ce qui, en passant, me laisse perplexe sur mon degré d'intégrité morale). mais quand bien même ces gens vous rebuteraient (au point de tout ignorer du pourtant incontournable tony soprano, par exemple), commettez donc l'écart de vous plonger dans malavita encore. juste pour la franche rigolade, tiens, pourquoi pas ? c'est bon de rire parfois (me chantonnent les nuls, inopportunément, je l'admets aussi, dans le creux de l'oreille)...
... et pour finir, une petite pensée pour l'agent du fbi chargé de l'organisation de cette planque dorée depuis 10 ans, l'inénarrable agent tom quint ! et excusez l'avalanche d'adjectif... je ne sais pas ce qui m'a pris... la salsa que j'écoute en boucle depuis mon réveil peut-être... (quel rapport, me direz-vous ? hé bien, aucun vous dirais-je... (mais cessons là ces parenthèses, on dirait du philippe jaenada !))
nota bene : les mots en italique suivi d'une astérisque sont en italien dans le texte
post sriptum : nota bene est un mot latin, et non italien, comme post scriptum d'ailleurs (me sussure l'homme-fin-et-lettré-qui-garde-mon-corps (mais je ne m'avancerai pas plus loin sur cette pente glissante, don't care))
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